En 2001, effarée de découvrir, dans les ruines de son pays, une population traumatisée par la guerre civile, Aleth Felix-Tchicaya parcourt les campagnes, distribue des vivres, s’efforce d’observer, d’écouter, d’apporter un soutien matériel ou moral quand elle le peut. En 2007, soucieuse d’apporter une structure à ses actions, elle crée l’A.I.S.B.L. Les Enfants d’Aleth. Avec une raison qui tient en quatre mots : Aimer. Devoir. Donner. Servir.
Du Congo-Brazzaville à la République Dominicaine, des rues de Manhattan aux institutions suisses, elle multiplie les voyages et les dons. Les rencontres qui lui vont droit au cœur et les actions qui en toucheront d’autres. Les livres-témoignages, qui relatent sa quête d’identité, ses combats pour la dignité et contre la maladie. Infatigable. Inlassable : « Il faut beaucoup de mains pour éradiquer la misère, mais je n’ai jamais considéré ce combat comme une utopie », dit-elle.
maladie. Infatigable. Inlassable : « Il faut beaucoup de mains pour éradiquer la misère, mais je n’ai jamais considéré ce combat comme une utopie », dit-elle.